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La Femme qui on savait trop.

Proposée par Verdakorulo
A
L'astrolab'
Date et lieu
La sortie s'est déroulée à
LABARTHE SUR LEZE (31860),

le Mardi 23 septembre 2025 à 20:30.

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Sortir sur LABARTHE SUR LEZE (31860)

Sortir en Haute Garonne

DescriptionLe film ''La Femme qui en savait trop'' a été réalisé par Nader Saeivar, qui a également co-écrit le scénario avec Jafar Panahi.
​Le casting principal comprend :
​Maryam Boubani dans le rôle de Tarlan, le personnage principal, une professeure de danse à la retraite.
​Nader Naderpour dans le rôle de Solat.
​Abbas Imani dans le rôle du fils de Tarlan.
​Ghazal Shojaei dans le rôle de Ghazal.
résumé
Le film La Femme qui en savait trop suit l'histoire de Tarlan, une professeure de danse à la retraite qui vit en Iran.
​Elle est le témoin d'un meurtre commis par une personnalité politique influente. Quand elle signale le crime à la police, celle-ci refuse d'enquêter. Tarlan se retrouve alors face à un dilemme : céder aux pressions du gouvernement pour qu'elle se taise, ou bien risquer sa réputation et ses ressources pour essayer d'obtenir justice.
​Le film explore les thèmes de la résistance, de la violence patriarcale et des différentes formes de justice, tout en dénonçant le régime autoritaire en place.

Voici une analyse du film ''La Femme qui en savait trop'' de Nader Saeivar.
​Thèmes principaux et symbolisme
​Le film s'inscrit directement dans l'écho du mouvement iranien ''Femme, Vie, Liberté''. Il est à la fois un drame intimiste et une critique politique féroce.
​La danse et la liberté : La danse, qui est le métier de l'héroïne Tarlan, n'est pas qu'un simple art. C'est un acte de résistance et un symbole de la liberté confisquée aux femmes en Iran. La scène finale, où une jeune femme danse sans voile, illustre la quête de liberté des nouvelles générations et montre que l'insoumission peut passer par l'expression du corps, plus forte que les mots dans un pays où la parole est censurée.
​La violence patriarcale et autoritaire : Le film dénonce la violence du régime théocratique iranien, qui opprime et contrôle la vie des femmes. Le meurtre initial est un féminicide, et le refus de la police d'enquêter met en lumière la complicité et l'hypocrisie des autorités. Le personnage de Solat, le gendre de Tarlan, est un exemple de l'homme brisé, formaté par le système, qui devient à son tour un ''bourreau ordinaire''.
​Le conflit des générations : Tarlan incarne la génération de femmes qui a connu l'oppression et la résignation. Elle a lutté par le passé mais est presque fatiguée par la lutte. Le film met en scène le passage de flambeau entre elle et la jeune génération, qui est prête à se battre sans crainte, par la force du geste et de l'affirmation. Tarlan observe cette nouvelle lutte, reconnaissant et transmettant son combat.
​La justice et la résistance : Le film interroge la nature de la justice. Doit-elle passer par la violence et la vengeance, ou par une forme de résistance non-violente et la recherche de la vérité ? Tarlan choisit de risquer sa réputation pour obtenir la justice, tandis que le film suggère que l'espoir réside dans les actions collectives et la solidarité.
​Réalisation et contexte de production
​Nader Saeivar a tourné le film clandestinement en Iran avant de s'exiler. Cette méthode de production renforce le message d'authenticité et de résistance du film. Le scénario a été co-écrit avec Jafar Panahi, un réalisateur iranien de renom, connu pour son opposition au régime et ses films tournés dans des conditions similaires.
​L'actrice principale, Maryam Boubani, est elle-même un symbole du mouvement ''Femme, Vie, Liberté'' pour avoir été l'une des premières actrices à retirer publiquement son hijab en signe de protestation. Son jeu d'acteur, qui met en valeur les silences, les regards et les gestes, contribue à la force de l'œuvre. Le film a été salué par la critique, remportant notamment le Prix du Public dans la section Orizzonti à la Mostra de Venise.

Participants

Ils étaient 1 participants



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