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L'or des toulousain - comédie historique au capitole

Proposée par Paquitolosan
 
Date et lieu
La sortie s'est déroulée à
TOULOUSE,

le Lundi 21 juillet 2008 à 20:30.

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Description''Ce soir, François 1er va manger chaud !'', spectacle en costumes et en plein air à 21h
Pas souvent qu'un spectacle est présenté dans le cadre prestigieux de la cour Henri IV (cherchez l'anachronisme...) du Capitole. Une dizaine de représentations prévues mais pourquoi pas ce lundi ? (peu de spectacles et sorties ce jour là, faut en profiter).
Pas de résa sur boodu, billeterie sur place ou en pré-vente à l'office du tourisme.
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Le 4 août 1533 à Toulouse, François 1er assiste à un banquet donné en son honneur, à l’hôtel de Bernuy. Riche de son commerce du pastel, la ville le reçoit avec faste. Le roi boit, le roi est ébloui, le roi remercie ses sujets. Mais il n’est pas venu que pour s’émerveiller de la richesse de la ville. Il compte bien profiter, lui aussi, des rentes du pastel qui font de Toulouse l’une des capitales de l’Europe car les caisses du royaume sont vides. Toulouse est riche, elle doit payer !
En marge du banquet, les intrigues se nouent et se dénouent sur un rythme effréné. Querelle d’argent, de pouvoir et de religion. La soirée avance et, le vin aidant, la comédie s’installe autour d’une énigme et d’un trésor. Qui, du roi ou de ses hôtes, tirera son épingle du jeu? Et que vient y faire Clémence Isaure ?
Une farce servie sans ménagement par cinq comédiens talentueux sur une musique originale. Entre rigueur historique et fantaisie débridée, ce spectacle mélange les genres pour mieux transcrire la vitalité de la Renaissance toulousaine. Le public d’érudits gourmets se réjouira des allusions et des citations ; le public moins averti des détails de l’histoire assistera à un spectacle populaire, riche en intrigues, actions et caractères.
Imaginez que le Président de la République décide de remplir les caisses de l’État en rançonnant notre bonne ville toulousaine… Il y a fort à parier que les habitants réagiraient, dressés comme un seul homme derrière des drapeaux rouges et noirs, réveillés dans leur fierté occitane. En réalité, cela est bien arrivé : c’était en 1533, en pleine Renaissance, et le racketteur s’appelle François Ier.
Bien que les dés en soient jetés pour le malheureux François, il est conseillé d’aller se rendre compte du dénouement au petit théâtre monté pour l’occasion sous les arcades de la cour Henri-IV au Capitole.
Déjà présenté à Saint-Pierre-des-Cuisines, l’an passé, L’Or des Toulousains revient, dans le cadre de l’opération de valorisation du patrimoine historique de la ville (...)
La mise en scène est confiée à Pierre Matras, à la tête du Grenier de Toulouse, à qui l’on doit notamment le succès des Trois Mousquetaires : « La mise en scène s’appuie sur la grande folie des personnages, un côté déjanté dans le style des Monty Python ou de Cuisines et dépendances, avec un décalage amusant entre l’époque et un jeu plus actuel. » Et puis, il y a le texte de Michel Mathe, aussi documenté qu’il est drolatique, grâce notamment à un langage délectable : « J’ai fait du faux Rabelais, inventé des mots qui auraient pu être les siens, réutilisé son lexique au sein d’une langue actuelle, raconte l’auteur. J’ai repris la syntaxe Renaissance tout en cultivant le style percutant d’Audiard dans Les Tontons flingueurs. On a l’impression d’entendre du français d’époque, mais en saisissant très facilement les propos ». Pour ce qui est de l’intrigue, le contexte est historique, jusqu’au moment du banquet où l’imagination espiègle de l’auteur, comme du metteur en scène, peut alors se débrider. Si les agapes se font hors scène, les négociations des personnages, en marge du repas, sont alors prétextes à toutes les jouissances de la comédie.
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Alors, vous n'êtes pas tenté(e)s ? qui m'accompagne ?

Participants

Ils étaient 5 participants



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