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Basilique st denis - nécropole des rois de france
Proposée par
Alea
Date et lieu
La sortie s'est déroulée à
ST DENIS (93210)
,
le
Samedi 20 novembre 2010
à
15:00
.
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Sortir sur ST DENIS (93210)
Sortir en Seine Saint Denis
Description
La basilique Saint-Denis est une église de style gothique située à Saint-Denis, en Seine-Saint-Denis. Fondée en tant qu'abbatiale, elle a aussi le statut de cathédrale du diocèse de Saint-Denis depuis 1966. Elle est la nécropole des rois de France. La basilique Saint-Denis fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis 1862[1]. Le jardin qui l'entoure fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 19 août 1926.
Histoire de la Basilique
Une église et une nécropole contemporaine de la christianisation de la Gaule.
Dès le Bas-Empire, un cimetière gallo-romain est attesté sur le site de Saint-Denis. Au IVe siècle, un mausolée fut élevé à l'emplacement du maître-autel actuel et fit déjà l'objet d'un culte. Puis, vers 475, sainte Geneviève acheta les terres alentours et fit construire une église.
Une nécropole royale parmi d'autres sous les Mérovingiens et les Carolingiens.
L'église fut agrandie à deux reprises sous les Mérovingiens, notamment sous Dagobert Ier qui y fit placer vers l'an 630, les corps de saint Denis (premier évêque de Paris) et ses deux compagnons, le prêtre Rustique et le diacre Éleuthère.
L'église de Saint-Denis devint une nécropole royale car la renommée légendaire de Denis de Paris se développa sous l'influence de l'abbé Suger qui en fit un compagnon de saint Paul envoyé en France pour christianiser Paris. Mais cette nécropole partagea ce privilège avec d'autres églises et ce n'est que sous les Robertiens et les Capétiens directs qu'elle obtint ce monopole très rarement remis en cause.
Un nouveau sanctuaire fut entrepris vers 750 par Pépin le Bref. Sous les Carolingiens, une église de plan basilical à trois nefs et à transept saillant fut construite. Elle fut rénovée au cours des âges, jusqu'au XIVe siècle.
En 1959, on a découvert pendant des fouilles le sarcophage de la reine Arégonde, morte en 573/579, épouse de Clotaire Ier.
La reconstruction de l'église par Suger
Dans la première moitié du XIIe siècle, entre 1135 environ et 1144, l'abbé Suger, conseiller du roi Louis VI le Gros et de Louis VII le Jeune, agrandit l'abbatiale en remaniant le narthex d'une façade dotée pour la première fois d'une rose et de trois portails de grandes dimensions. Il modifie aussi le chœur en lui ajoutant des chapelles rayonnantes.L'abbaye bénédictine de Saint-Denis est un établissement prestigieux et riche, grâce à l'action de Suger, abbé de 1122 à 1151. Ce dernier souhaite rénover la vieille église carolingienne afin de mettre en valeur les reliques de saint Denis dans un nouveau chœur : pour cela, il souhaite une élévation importante et des baies qui laissent pénétrer la lumière.
Suger décide donc d'achever la construction de l'église en s'inspirant du nouveau style entraperçu dans la cathédrale Saint-Étienne de Sens. En 1140, il fait édifier un nouveau massif occidental, en s'inspirant des modèles normands de l'âge roman comme l'abbatiale Saint-Étienne de Caen. L'abbaye est consacrée le 11 juin 1144, inaugurant le francigenum opus, appelé plus tard l'art gothique. Reprenant le principe du déambulatoire à chapelle rayonnante en le doublant, Suger innove en prenant le parti de juxtaposer les chapelles autrefois isolées en les séparant par un simple contrefort. Chacune des chapelles comporte de vastes baies jumelles munies de vitraux filtrant la lumière. Le voûtement adopte la technique de la croisée d'ogives qui permet de mieux répartir les forces vers les piliers.
Par la suite, l'édifice devint encore plus important. Il abrita les regalia (instruments du sacre), devint nécropole royale et plus seulement dynastique. Considérée comme la principale nécropole de la monarchie française depuis Hugues Capet, ce dernier qui en était abbé laïc, s'appuya souvent sur la puissance de l’abbaye pour conforter son pouvoir.
Le 22 août 1291, une bulle du pape Nicolas IV, datée d'Orvieto, confirmant elle-même une bulle de Célestin III, accorda aux religieux de Saint-Denis le privilège de n'être soumis à aucune sanction canonique, émanée de qui que ce fût, hormis de leurs abbés, sans une licence spéciale du souverain pontife.
C'est à l'abbaye de Saint-Denis que les rois de France se rendaient pour y prendre l'oriflamme avant de partir en guerre ou en croisade.
La basilique et le patrimoine :
Dagobert fut le premier roi à se faire inhumer en ce lieu, à l'instar de saint Denis, premier évêque de Paris martyrisé au IIIe siècle.
Du fait de son statut de nécropole des rois de France, défintivement acquis sous les Capétiens directs, la basilique fut un lieu de travail pour les artistes au service de l'alliance entre la royauté française et l'Église catholique. De ce fait, elle joue un rôle important dans l'histoire du patrimoine en France. Si la tombe de Saint Louis, ouvrage d'orfèvrerie, a été détruite par l'envahisseur anglais lors de la guerre de Cent Ans, la plupart des atteintes au patrimoine de cette église sont beaucoup plus récentes. De fait, période de dégradations et de restaurations se succèdent depuis la Révolution française
Nécropole royale de la basilique de Saint-Denis
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Aller à : Navigation, rechercher Pendant douze siècles, de Dagobert Ier à Louis XVIII, de nombreux rois de France, en particulier presque tous les Capétiens, furent inhumés dans la basilique de Saint-Denis, située au nord de Paris. Pendant la Révolution française, en 1793, Bertrand Barère de Vieuzac demande à ce que les mausolées soient tous détruits. Les corps sont jetés dans une fosse commune, mais Alexandre Lenoir réussit à sauver les tombeaux les plus précieux. Il les envoie à Paris, au dépôt des Petits-Augustins, et Louis XVIII lui demandera de les remettre dans la basilique en 1816. Le 19 janvier 1817, Louis XVIII fit ramener les restes de ses prédécesseurs dans la crypte de la basilique.
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Personnellement ma préférence va aux :
Tombeaux royaux à effigies réalistes (appelés les GISANTS)
Tombeaux de Jeanne d'Évreux et de Charles IV le BelA partir de Philippe III le Hardi, décédé en 1285, apparaît le souci de ressemblance dans la représentation des gisants.
Tombeaux de Philippe III le Hardi (1270-1285) et de son épouse Isabelle d'Aragon
Tombeau de Philippe IV le Bel (1285-1314)
Tombeaux de Louis X le Hutin (1314-1316) et de sa seconde épouse Clémence de Hongrie
Tombeau de Jean Ier le Posthume (1316)
Tombeau de Philippe V le Long (1316-1322)
Tombeaux de Charles IV le Bel (1322-1328) et de sa troisième épouse Jeanne d'Évreux
Tombeaux de Philippe VI de Valois (1328-1350) et de sa seconde épouse Blanche de Navarre
Tombeau de Jean II le Bon (1350-1364)
Tombeaux de Charles V le Sage (1364-1380) et de son épouse Jeanne de Bourbon
Tombeaux de Charles VI le Fou (1380-1422) et de son épouse Isabeau de Bavière
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Tombeaux de la crypte royale
Au centre de la crypte royale, dans la salle voutée du caveau royal, se trouvent les tombeaux des souverains inhumés après la Révolution française.
Tombeaux de Louis XVI (1774-1792) et de son épouse Marie-Antoinette d'Autriche inhumés dans la basilique le 21 janvier 1815.
Tombeau de Louis VII le Jeune (1137-1180) qui était inhumé à l'abbaye cistercienne de Notre-Dame de Barbeau et qui fut transféré le 30 juin 1817 à la basilique de Saint-Denis à la demande de Louis XVIII.
Tombeau de Louis XVIII (1814-1824) inhumé dans la basilique à sa mort en 1824.
A proximité, la chapelle des Bourbons contient des cénotaphes réalisés au XIXe siècle en l'honneur des Bourbons. Y est entreposé, dans un vase translucide, le coeur de Louis XVII.
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Et tellement d'autres choses intéressantes à découvrir. A la fin de cette visite, vous serez passionné par cette basilique.
Participants
Ils étaient 2 participants
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