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A la decouverte de robert doisneau
Proposée par
Broceliandes75
Date et lieu
La sortie s'est déroulée à
PARIS 14 (75014)
,
le
Mercredi 27 janvier 2010
à
18:30
.
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Sortir sur PARIS 14 (75014)
Sortir en Paris
Description
Robert Doisneau naît à Gentilly, au moment même où commence à sombrer le Titanic après avoir heurté un iceberg. C’est à dire le 14 avril 1912.
Il réussit, en 1925, le concours d’entrée de l’École Estienne, à Paris. Il y reçoit une formation de graveur-lithographe.
Il obtient son diplôme de graveur en 1929, année où il fait également ses débuts dans le dessin de lettres et les photographies publicitaires dans un atelier spécialisé en publicité pharmaceutique.
En 1931, il est l’opérateur d’André Vigneau.
Il réalise en 1932 un premier reportage – sur le marché aux puces – qu’il vend à Excelsior.
Il est embauché comme photographe industriel aux usines Renault à Billancourt. Il y restera de 1934 à 1939, licencié pour son manque de ponctualité. Il tente alors de devenir photographe illustrateur indépendant après avoir rencontré Charles Rado, le fondateur de l’agence Rapho.
Sa première commande est un reportage sur la descente de la Haute Dordogne en canoë. Reportage interrompu par la déclaration de guerre.
La guerre survient. Il sert dans l’armée française jusqu’en 1940, puis participe à la résistance. Une fausse note : il illustre en 1942 un livre de Maximilien Vox préfacé par… le maréchal Pétain.
Il entame en 1945 une série pour la revue Le Point, rencontre Blaise Cendrars et Cartier-Bresson.
Il rentre à Rapho en 1946, après avoir tenté de gagner sa vie en imprimant des cartes postales.
Il obtient le prix Kodak en 1947.
En 1949, il signe un contrat avec le magazine Vogue et en profite pour photographier Orson Welles ou toute une frange de jet-setters, personnalités pour lesquelles il n’éprouve pas une vive affection. Il reste permanent à Vogue jusqu’en 1952, année où paraît Sortilèges de Paris, chez Arthaud. Entre-temps - en 1951 donc - , il aura été exposé au Museum of Modern Art de New York, avec Izis, Willy Ronis ou Brassaï.
En 1956, il reçoit le prix Niépce et photographie Raymond Queneau.
Il voyage aux Etats-Unis en 1960.
En 1968, le journal La Vie ouvrière l’envoie en URSS.
Un court-métrage intitulé Le Paris de Robert Doisneau, réalisé par François Porcile, lui est consacré en 1973.
En 1975, il est l’invité des Rencontres d’Arles.
Contrejour édite Trois secondes d’éternité en 1979, un album qui contient 143 photos.
François Hers le photographie au jardin du Luxembourg. La photo paraît dans l’édition du mardi 10 août 1982 de Libération.
Parution chez Belfond, en 1983, du Doisneau de Jean-François Chevrier. La même année, à la campagne - un dimanche ? - , il s’en va photographier le tournage d’un film de Bertrand Tavernier avec Sabine Azéma et Louis Ducreux.
La DATAR le missionne en 1984, sur le thème des Nouveaux paysages urbains.
Il réalise des portraits de personnalités pour le magazine Femme en 1985.
Un certain Robert Doisneau, dédié à Barbara Grosset, paraît au Chêne en 1986, et Antenne2 lui commande un premier film vidéo.
Les albums et autres ouvrages s’enchaînent : À l’imparfait de l’objectif chez Belfond et Les Doigts plein d’encre chez Hoëbeke pour 1989, Lettre à un aveugle sur des photographies de Robert Doisneau de Sylvain Roumette en 1990, Question de lumières, conversation entre Doisneau et Henri Alekan en 1993.
Robert Doisneau meurt un Ier avril, en 1994.
Longtemps Robert Doisneau a été perçu comme le chantre du pittoresque parisien. Illustrateur de génie, il a su comme personne saisir l’image agréable, l’anecdote inattendue : on a reconnu en lui le professionnalisme et la poésie simple de l’instantané. Mais l’oeuvre de Robert Doisneau est infiniment plus complexe.
Participants
Ils étaient 4 participants
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